Si le psychomotricien est aujourd’hui « dans tous ses états », c’est peut-être parce que son métier est en mal de (re) connaissance, parce ses pratiques sont disparates, au nord comme au sud et tendent à s’éloigner de l’objet originel de la «psychomotricité», ou encore parce ce que ses «actes de soin» ne sont pas réglementés et qu’il ne sait plus « sur quel pied danser » ! «La psychomotricité» n’est pas une entité «organique»! Il me semble dangereux de considérer cette praxis sous l’angle de savoirs « découpés » et hyperspécialisés avec ses méthodologies et ses champs de recherches qui peuvent parfois se révéler scientistes plus que scientifiques, en ne faisant place qu’à ce qui est visible, ce qui se marque sur des tracés encéphalographiques et produit des résultats numériques!
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Posté le 07-12-19